DCAS Training in Kenya, 31 Jan.to 3rd Feb.2023

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The Global Center on Adaptation (GCA) in collaboration with the Wangari Maathai Institute of Peace and Environmental Studies, University of Nairobi (WMI-UoN), within the framework of the Regional Forum on the Future of Resilient Food Systems in Africa, have co-organized a capacity building workshop on “Digital Climate Information and Advisory Services (DCAS)” for participants from across the Eastern Africa region.

Date: 31 January – 2 February 2023,

Venue: The training workshop will hold at the Wangari Maathai Institute (WMI), Upper Kabete Campus of the University of Nairobi, Kenya.

I was honored to take part to that valuable training, and got a certicate in the hands of the African Development Bank Representative.

Soma mbike!

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Représentation du livre “Salvator”

RELANCE DE L’APPEL A MANIFESTATION D’INTERET

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African Youth Employment Initiatives (AYEI-Burundi), est une organisation œuvrant pour les jeunes et ayant pour objet de responsabiliser la jeunesse à travers l’agriculture durable comme moyen de création d’emplois, d’atténuer la faim, la pauvreté et améliorer l’économie nationale et réaliser les objectifs de développement durable. AYEI-Burundi encourage les jeunes à promouvoir l’agriculture comme une valeur socio-économique qui crée des opportunités pour les individus et les groupes. AYEI-Burundi encourage tous les jeunes à réduire la faim au Burundi et sur le continent Africain par l’agriculture, le réseautage, l’autonomisation et l’intégrité.

Ainsi, à travers son programme de Microprojets aux Jeunes pour Faire face aux Problèmes de Chômage (PMJ/FPC), AYEI-Burundi relance cet appel à manifestation d’intérêt pour les coopératives/groupements de jeunes légalement constituées, œuvrant dans le domaine de l’agribusiness. Ce programme s’adresse en particulier aux coopératives ou groupements de jeunes lauréats du post fondamentale et/ou des Universités qui ont déjà initié un projet dans le domaine de l’agribusiness.

Conditions d’éligibilité

  1. Être une coopérative/un groupement de jeunes lauréats de l’Université ou post fondamentale ;
  2. Être un groupe de jeunes entrepreneurs en action, dans l’une des zones d’action du projet, c’est-à-dire, dans Bujumbura Mairie et/ou Commune Cankuzo ;
  3. La coopérative/le groupement doit être agréé (e) et/ou reconnu par l’administration locale ;
  4. La coopérative/le groupement doit être implanté (e) dans la mairie de Bujumbura ou en Commune Cankuzo ;
  5. La coopérative/le groupement doit travailler dans le domaine de l’agribusiness et démontrer son expérience d’au moins une année dans le domaine de l’agribusiness ;
  6. Être capable de recevoir et gérer un crédit et le rembourser dans les délais impartis.

Qu’est-ce que vous gagnez dans cette opportunité ?

  1. Les coopératives/groupements qui seront sélectionné (e)s bénéficieront d’une formation en gestion financière, élaboration et gestion de projets ;
  2. Elles/ils bénéficieront d’un accompagnement dans leurs activités quotidiennes ;
  3. Deux d’entre elles/eux bénéficieront d’un crédit (maximum 8000.000 Fbu) pour une idée de projet qu’ils auront présentée à AYEI-Burundi et sélectionnée après compétition. Le crédit sera remboursable dans un délai convenu entre les deux parties mais ne dépassant pas 18 mois.
  4. Elles/ils entreront dans la base de données de AYEI-Burundi ;
  5. Elles/ils bénéficieront du réseautage avec d’autres entités partenaires de AYEI-Burundi et AYEI International.

EXIGENCES REQUISES

Toutes les demandes devront contenir les éléments suivants :

1. Le résumé de la proposition

La description d’une idée de projet que vous souhaitez réaliser avec l’appui du PMJ/FPC. Veuillez suivre le formulaire de présentation de la proposition. Les propositions devront se limitées à 5 pages au maximum.

2. Business plan :

Décrivez l’aspect financier de cette idée de projet que vous souhaitez mener avec l’appui financier du PMJ/FPC (budget maximal 8.000.000 Fbu) ; il devra correspondre aux activités décrites dans le résumé de la proposition. Veuillez aussi montrer comment votre business serait rentable par mois et par an.

3. Documents supplémentaires :

1) Lettre de manifestation d’intérêt adressée au Coordonnateur National de AYEI-Burundi ;

2) Une copie des statuts de la coopérative

3) Une copie de la lettre de reconnaissance ou d’agrément de la coopérative (ou le Registre de Commerce, NIF) ou tout autre document qui prouve que votre coopérative ou groupement est légalement reconnu (e).

4) Tout autre document jugé nécessaire et qui puisse stimuler votre sélection.

4. Modalités d’envoi du dossier :

Le dossier complet doit être envoyé via le formulaire en ligne, en suivant ce lien :

https://form.jotform.com/ayeiburundi/manifestation-dintrt-form

Pour toute autre information supplémentaire, veuillez écrire un email à l’adresse électronique ci-après : ayeiburundi@gmail.com.

5. Date limite de dépôt des propositions : Le vendredi 20 janvier 2023 à 23h00, heure de Bujumbura. Après cette heure, aucun autre dossier ne sera recevable.

Présentation de « Salvator – sur le sentier vers le village des frères », le 04/01/2023

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C’était à l’occasion de la 3è conférence SOMA MBIKE organisée chaque premier mercredi du mois par la Coopérative pour Promotion des Œuvres Littéraires et des Auteurs du Burundi (COPOLAB).

Voici le discours de présentation du livre par Diomède Mujojoma, auteur du livre « Salvator-Sur le sentier vers le village des frères ».

Monsieur le Président de la Coopérative pour Promotion des Œuvres Littéraires et des Auteurs du Burundi, (COPOLAB) ;

Mesdames, Messieurs les membres de COPOLAB ;

Madame la Présidente de l’Association Burundaise des Ecrivains et Promoteurs du Livre (ABEPL) ;

Chers collègues, membres de l’ABEPL ;

Messieurs les Abbés, Révérends Pères ;

Ma chère femme, mon cher fils ;

Distingués invités ;

Permettez-moi de prime à bord de vous présenter mes souhaits pour cette année brillant dans sa fraicheur, l’année 2023. Qu’elle soit pour vous et les vôtres une année de bonne santé, de succès dans vos entreprises, une année de paix et de prospérité sur tous les plans humains, sociaux et économiques ; une année où se réaliseront vos projets chéris ; une année où la discorde cèdera à la concorde et se réalisera la fraternité universelle.

 La fraternité universelle, un pari que Salvator, ce personnage exceptionnel du roman qui porte son titre, tente de réaliser et auquel il nous invite tous à gagner, en nous embarquant sur le sentier vers le village des frères. Salvator reconnait que les Burundais, comme tous les humains, sont des frères – je l’admets, moi aussi ; et toi ?! Les Burundais, tout comme les humains en général, nous sommes tous frères, n’eût été des idéologies divisionnistes enseignées par certaines personnes à des profits sectaires. Comme nous pouvons le lire de ce roman – Salvator – ces idéologies ont été semées par nos oncles – les colons – pendant la période coloniale, et se perpétue malheureusement aujourd’hui par des gens sans foi ni loi qui ne cherchent que faire des profits individuels après avoir plongé toute une nation, tout un peuple dans le désarroi. Salvator se veut donc une antithèse à cette pratique honteuse en prônant l’accueil mutuel dans nos différences qui ne sont que sources d’harmonie, tellement Dieu l’a voulu et y tient encore et pour toujours.

« Salvator – sur le sentier vers le village des frères » a été qualifié par notre éditeur de roman historique. En effet, il est très bien cadré dans le temps et dans l’histoire du Burundi. De par son premier chapitre, le roman s’ouvre sur cette phrase : « C’était le premier jour de la semaine, le 25 du mois d’octobre de l’an 1993 ». Ce mois fatidique pour le peuple Burundais ne peut laisser personne indifférent. Cette page sombre se ferme à la fin de la première partie du roman, avec la signature des Accords d’Arusha entre les belligérants Burundais, et la démobilisation de Salvator. Ainsi la deuxième partie s’ouvre avec un air de joie, avec le « Retour en famille de Salvator et certains de ses compagnons de lutte ». Nous retrouvons le paroxysme de l’amour de Salvator pour son peuple à travers son mariage avec Mireille, symbole de la réconciliation et la réunification entre le peuple Burundais à travers la réconciliation de sa famille et celle de son adorable Mireille, un objectif pour lequel l’auteur a tant milité et milite encore aujourd’hui à travers ses personnages fictifs.

 A travers ce roman Salvator, l’auteur fait le décryptage de la crise qu’a connu le Burundi à partir des années 1993 jusqu’au lendemain des accords d’Arusha, lesquels accords ont semblé ouvrir une nouvelle page sur la vie politico-sociale du Burundi. L’auteur de Salvator associe la crise de 1993 à l’échec de l’unité du peuple Burundais. Cette guerre d’ethnie a tellement déchiré le tissu social qu’il y a jusqu’aujourd’hui encore du pain sur la planche pour le raccommoder. En effet, il existe encore des parents comme ceux de Salvator et Mireille qui gardent dans leurs têtes et dans leurs cœurs qu’un jeune Hutu ou Tutsi ne pourrait prétendre à la main d’une jeune fille Tutsi ou Hutu. Allez voir dans vos couloirs, au lieu de travail ou dans vos groupes restreints, des idées divisionnistes ou des comportements ou même des paroles haineuses existent encore entre collègues. On n’entre pas dans les milieux politiques.

La présentation de ce roman Salvator aujourd’hui, 10 ans après sa parution, est une occasion de réinviter le peuple Burundais, en particulier vous qui participez à cette conférence, à ce débat, à s’évaluer, à vous évaluer, à nous évaluer à quel niveau nous sommes dans la conquête de l’unité fraternelle, de la réconciliation, du rejet des idéologies ethniques divisionnistes et dans l’accueil de l’autre ; l’autre qui est mon miroir, l’autre en qui je m’identifie, l’autre qui n’est pas nécessairement de ma famille biologique, ethnique ou politique, mais l’autre qui est mon prochain dont décrit la Bible (Lc 10, 25-37).

Monsieur le Président de COOPOLAB ;

Mesdames, Messieurs les membres de COOPOLAB ;

Madame la Présidente de l’ABEPL, chers collègues, membres de l’ABEPL ;

Messieurs les Abbés, Révérends Pères, Révérende Soeurs ;

Ma chère femme, mon cher fils ;

Distingués invités ;

Je n’avais pas l’objectif de vous présenter le livre page par page, chapitre par chapitre, pour éviter de vous couper l’appétit à sa lecture intégrale. Je vous assure, vous y trouverez la joie et l’espoir d’un Burundi réconcilié et uni, si nous suivons les conseils de Salvator. Je ne fais donc que provoquer le débat.

Je ne saurais clore mon propos sans vous inviter à lire ce roman Salvator, qui est d’ailleurs écrit dans un langage très simple et affectif. Vous y trouverez de la prose et de la poésie, et vos yeux ne seront jamais lourds à le lire que quand vous l’aurez terminé sans vous en rendre compte.

Monsieur le Président de COOPOLAB ;

Mesdames, Messieurs les membres de COOPOLAB ;

Madame la Président de l’ABEPL, chers collègues, membres de l’ABEPL ;

Messieurs les Abbés, Révérends Pères ;

Ma chère femme, mon cher fils ;

Distingués invités ;

Salvator est mon premier livre. J’ai par après contribué dans la publication d’autres livres collectifs en tant que coauteur : Reflets de nos âmes unies, un recueil des poèmes et nouvelles, publié chez Edilivre (Paris) en 2012 ; Pour une culture de paix dans la région des Grands Lacs Africains, une deuxième anthologie sur la littérature des Grands Lacs Africains, publiée en 2014 chez Fountains Publishers, Kampala, dans la plateforme Sembura, ferment littéraire.

Aujourd’hui, j’ai encore deux livres à publier, et si le climat est favorable, ils pourront paraitre cette année même. L’un est en Anglais, traitant de la victimisation de la jeunesse par le colonialisme et le néocolonialisme ; et l’autre sur les lieux de pèlerinages.

A côté de ces deux livres en cours, je participe à la création littéraire dans la plateforme des écrivains de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale, où nous sommes sur le point de produire une anthologie de poèmes, intitulée « Au Grand Bassin du Congo », et enfin, aujourd’hui, je suis membre du Comité de pilotage pour la production d’une anthologie des contes en langues maternelles, au sein de la plateforme des écrivains de la CEEAC.

La littérature étant le levier de la culture d’un peuple et l’un des moyens sûrs de la sauvegarde de son identité, je vous invite à l’aimer et soutenir ses promoteurs. Les paroles s’envolent mais les écrits restent. Protégeons le patrimoine littéraire et développons-le autant que possible, surtout dans les cœurs de nos jeunes, l’avenir de demain. Et si le gouvernement pouvez mettre en place une politique de soutien aux créateurs littéraires et surtout dans la mise en place d’une maison d’édition nationale et bien équipée en ressources humaines et matérielles, cela faciliterait la tâche aux écrivains Burundais et écrivains vivant au Burundi.

Last but not least,

A toi ma chère femme, à toi mon fils ;

A toi qui as l’espoir que l’amour, l’unité et la paix finiront par vaincre et gouverner ;

A toi aussi qui a perdu tout espoir à l’amour, l’unité et la paix ;

A toi mon frère, à toi ma sœur lasse de ces division ethniques, régionales, raciales ;

A toi mon peuple chéri ;

A toi mon frère et ma sœur universel (le)s ;

A toi ma force,

Je vous dédie ces lignes !

Je vous remercie.

APPEL A MANIFESTATION D’INTERET

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African Youth Employment Initiatives (AYEI-Burundi), est une organisation œuvrant pour les jeunes et ayant pour objet de responsabiliser la jeunesse à travers l’agriculture durable comme moyen de création d’emplois, d’atténuer la faim, la pauvreté et améliorer l’économie nationale et réaliser les objectifs de développement durable. AYEI-Burundi encourage les jeunes à promouvoir l’agriculture comme une valeur socio-économique qui crée des opportunités pour les individus et les groupes. AYEI-Burundi encourage tous les jeunes à réduire la faim au Burundi et sur le continent Africain par l’agriculture, le réseautage, l’autonomisation et l’intégrité.

Ainsi, à travers son programme de Microprojets aux Jeunes pour Faire face aux Problèmes de Chômage (PMJ/FPC), AYEI-Burundi lance un appel à manifestation d’intérêt pour les coopératives/groupements de jeunes légalement constituées, œuvrant dans le domaine de l’agribusiness. Ce programme s’adresse en particulier aux coopératives ou groupements de jeunes lauréats du post fondamentale et/ou des Universités qui ont déjà initié un projet dans le domaine de l’agribusiness.

Conditions d’éligibilité

  1. Être une coopérative/un groupement de jeunes lauréats de l’Université ou post fondamentale ;
  2. Être un groupe de jeunes entrepreneurs en action, dans l’une des zones d’action du projet, c’est-à-dire, dans Bujumbura Mairie et/ou Commune Cankuzo ;
  3. La coopérative/le groupement doit être agréé (e) et/ou reconnu par l’administration locale ;
  4. La coopérative/le groupement doit être implanté (e) dans la mairie de Bujumbura ou en Commune Cankuzo ;
  5. La coopérative/le groupement doit travailler dans le domaine de l’agribusiness et démontrer son expérience d’au moins une année dans le domaine de l’agribusiness ;
  6. Être capable d’élaborer et mettre en œuvre un projet dans l’agribusiness ;
  7. Être capable de recevoir et gérer un crédit et le rembourser dans les délais impartis.

Qu’est-ce que vous gagnez dans cette opportunité ?

  1. Les coopératives/groupements qui seront sélectionné (e)s bénéficieront d’une formation en gestion financière, élaboration et gestion de projets ;
  2. Elles/ils bénéficieront d’un accompagnement dans leurs activités quotidiennes ;
  3. Deux d’entre elles/eux bénéficieront d’un crédit pour une idée de projet qu’ils auront présentée à AYEI-Burundi et sélectionnée après compétition. Le crédit sera remboursable dans un délai de 12 mois.
  4. Elles/ils entreront dans la base de données de AYEI-Burundi ;
  5. Elles/ils bénéficieront du réseautage avec d’autres entités partenaires de AYEI-Burundi et AYEI International.

EXIGENCES REQUISES

Toutes les demandes devront contenir les éléments suivants :

1. Le résumé de la proposition

La description d’une idée de projet que vous souhaitez réaliser avec l’appui du PMJ/FPC. Veuillez suivre le formulaire de présentation de la proposition. Les propositions devront se limitées à 5 pages au maximum. Télécharger ici:

2. Business plan :

Décrivez l’aspect financier de cette idée de projet que vous souhaitez mener avec l’appui financier du PMJ/FPC ; il devra correspondre aux activités décrites dans le résumé de la proposition. Veuillez aussi montrer comment votre business serait rentable par mois et par an.

3. Documents supplémentaires :

1) Lettre de manifestation d’intérêt adressée au Coordonnateur National de AYEI-Burundi ;

2) Une copie des statuts de la coopérative

3) Une copie de la lettre de reconnaissance ou d’agrément de la coopérative (ou le Registre de Commerce, NIF) ou tout autre document qui prouve que votre coopérative ou groupement est légalement reconnu (e).

4) Tout autre document jugé nécessaire et qui puisse stimuler votre sélection.

4. Modalités d’envoi du dossier :

Le dossier complet doit être envoyé via le formulaire en ligne, en suivant ce lien :

Manifestation d’intérêt Form

Pour toute autre information supplémentaire, veuillez écrire un email à l’adresse électronique ci-après : ayeiburundi@gmail.com.

5. Date limite de dépôt des propositions :

Le vendredi 25 Novembre 2022 à 23h00, heure de Bujumbura. Après cette heure, aucun autre dossier ne sera recevable.

APPEL A PROPOSITION DE MICROPROJETS

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African Youth Employment Initiatives (AYEI-Burundi), est une organisation de jeunes Burundais ayant pour objet de responsabiliser la jeunesse burundaise à travers l’agriculture durable comme moyen de création d’emplois, atténuer la faim, la pauvreté et améliorer l’économie nationale ainsi que la réalisation des objectifs de développement durable. AYEI-Burundi encourage les jeunes à promouvoir l’agriculture comme une valeur socio-économique qui crée des opportunités pour les individus et les groupes. AYEI-Burundi encourage tous les jeunes à réduire la faim au Burundi et sur le continent Africain par l’agriculture, le réseautage, l’autonomisation et l’intégrité.

Ainsi, à travers son programme de Microprojets aux Jeunes pour faire face aux Problèmes de Chômage (PMJ/FPC), AYEI-Burundi lance un appel à proposition de projets en vue d’obtenir un microcrédit, dans le domaine de l’agribusiness. Ce programme s’adresse aux jeunes lauréats du post fondamentale et des Universités qui ont déjà initié un projet dans le domaine de l’agribusiness et qui souhaite augmenter leur capital. Les propositions doivent avoir une marge budgétaire de 500.000 à 1.500.000 Fbu. Les propositions peuvent être individuelles ou adressées par un groupe de promoteurs ne dépassant pas 5 personnes, ou encore en association ou coopérative dûment enregistrée au Burundi.
NB : Les projets doivent être implantés dans les provinces : Bujumbura, Bubanza et Cibitoke.
Pour plus d’informations, visitez notre site internet: https://ayei.info/burundi-projects/
Date limite de dépôt de proposition: le 5/8/2021 à 18:00. Les dépôts se font exclusivement en ligne, voir le formulaire en ligne sur le site internet à travers lien haut fourni.
Bonne chance!

DM.

Participe avec moi à la Revue feuille de route, Premier numéro

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« Les Révoltés de la Plume » est un mouvement littéraire qui est né à Kinshasa dans la commune de Bandalungwa vers les années 2004 sous l’initiative du poète Harris Kasongo.

La structure « Les Révoltés de la Plume » a lancé, mardi 12 janvier, le Prix Etoile Littéraire qui sera décerné aux cinq meilleurs auteurs publiés dans le premier numéro de la revue dénommée « Feuille de Route ». La Poésie et la Nouvelle sont les deux genres acceptés, avec pour thème « Renaissance africaine ».

Il y aura une sélection des textes. Les 10 premiers seront primés, en poésie comme en nouvelle. Cependant les autres retenus seront dans la revue au même titre que les gagnants et pourront recevoir un diplôme de participation.

Les auteurs Burundais sont invités à participer à ce grand rendez-vous littéraire.

Thème : Renaissance Africaine

Date limite pour présenter vos textes : 20 février 2021

Dépôt : diomedemujojoma@gmail.com

Poésie : 1 page A4

Nouvelle : 3 pages A4

La remise des prix est prévue le jour de la présentation de la revue à Kinshasa, à la fin du mois d’avril et à la veille du lancement du deuxième numéro de la même revue. Chers écrivains Burundais, à vos plumes !

Personne de contacte, coté Burundi :

Diomède Mujojoma, Tél. +257 79 58 59 76

                                        + 257 75 833985 (Whatsapp)

Ikiganiro kuri Pantecoti nshasha, ku wa 23/8/2020

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Esprit SaintImbere y’uko nogira ico mvuze ku mazina ya Mutima Mweranda, munkundire tubanze turabire hamwe igituma tugira ibisabisho kuri Mutima Mweranda ndetse tukanamutazira amazina.

Mutima Mweranda ni umwe muba personna batatu bagize ubutatu butagatifu, kumwe na Data, na Mwana. Ni wa muhoza twari twemerewe na Yezu, twamurungikiwe na Data mw’ibatisimu. Arashobora guhindura ubuzima bwacu, igihe tumuretse akaba ariwe atugenza. Amazina ya Mutima Mweranda rero adufasha gusenga twiyibutsa inema n’ingabirano tumuzeyeko. Read the rest of this entry »